Conseil municipal du 23 mai, le film

Film intégral (aux erreurs et aux imperfections de notre caméra près, et merci de nous signaler d’éventuelles erreurs de montage) du conseil municipal tenu le 23 mai 2016.

1. Introduction.. – Succès de deux manifestations (Jean-François Tassin, Frédérique de Préval). A ménagement de la place de la gare, aménagement pour les vélos (Question d’Isabelle Herr).

2. Démocratie à Maisons-Laffitte Aide Solibail pour le logement (question de Charles Givadinovitch). Fête des voisins (question d’Anne Lavagne).

3. Questions. Nomination d’un directeur techniue des sports (Question de Serge Vetu). Panneaux d’affichage (Question de Christine Le Bert). Un plan vélos, subentions possibles du Stif. ?(Question de Maika Bamps, réponse du maire et de Serge Godaert ).

4. Questions Déléhgation au maire pour les subentions. Remarque de Nicolas Mourlon . Office de tourisme, composition de son conseil (question de Christine lebert).

5. Tarifs municipaux.  Questions et observations, notamment de Maika Bamps. Adhésion au portail des marchés publics (Présentation par Anne Vuaille, informations par le maire).

6. CHML. Parking du marché .
– CHML, présentation par Thierry Bazetoux.
– Parking du marché. Présentation par Jean-Francois Tassin. Observations d’Eric Lauvernay.

7. Parking du marché . Questions d’Eric Lauvernay, Nicolas Mourlon et Maika Bamps.

8. Parking du marché . Débat

9. Parking du marché. Débat

10. Vidéoprotection. Personnel communal.

(Images de Michel Le Poder et Pierre Berger)

 

 

Tribune libre du magazine municipal – Edition de mai 2016

Le département, la commune et l’action sociale… un an après

 Au printemps 2015, les électeurs yvelinois ont choisi de reconduire la majorité départementale, notamment son président, à peine revenu de 6 ans d’inéligibilité prononcés en 2006 pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux.

Souvenez-vous de la campagne. Il était rappelé l’importance du niveau départemental pour les politiques sociales (ce dont nous convenons) ! Vos candidats élus, Pierre Fond et Janick Géhin, promettaient de mener un politique ambitieuse pour les familles et de porter les projets de nos villes pour obtenir l’aide nécessaire du conseil départemental.

Un an après, quel bilan pouvons-nous tirer des premières décisions ?

Faut-il rappeler la hausse fulgurante de la part départementale de la taxe foncière (+ 66 % !) ou l’annonce (qui changera vraiment notre vie, à coup sûr !) d’un rapprochement entre les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines pour faire barrage à la Métropole… ?

Le site du Conseil départemental justifie la hausse de la taxe foncière pour maintenir les investissements et un plus grand contrôle en matière de dépenses sociales. Mais qu’en est-il réellement et quels impacts pour notre Communauté d’agglomération :

–          La fin du cofinancement du secteur petite enfance représente une dépense supplémentaire pour les communes : au total, la baisse des subventions aux crèches atteint 1.8 M€ pour notre Communauté d’agglomération,  dont 270 000 € à Maisons-Laffitte.

–          A Maisons-Laffitte, comme à Sartrouville et le Pecq, 3 PMI ont fermé.

–          A Sartrouville, l’Association d’Insertion Professionnelle (AIF) et à St- Germain l’Association de Prévention (APSY) ont disparu suite au désengagement du département. A travers eux, c’est le financement des actions de prévention et en faveur du retour à l’emploi des allocataires du RSA qui est attaqué.

–          La culture n’est pas épargnée non plus, avec des coupes sombres dans le financement du théâtre de Sartrouville, de l’Académie Gabriel Fauré à Louveciennes et du Conservatoire au Pecq

Le Conseil Départemental des Yvelines prétend que le budget de rigueur qu’il impose à l’action sociale est imposé par « le contexte d’asphyxie imposé par le gouvernement ». En 2015, année électorale, le budget de l’action sociale représentait 58 % du budget de fonctionnement de la collectivité. En 2016, il est porté à 54 % – ce qui traduit bien une volonté politique de remettre en cause le principe de solidarité dont le département est investi. C’est bien l’exécutif du département, soutenu par la majorité municipale, qui en porte la seule responsabilité.

   Nicolas MOURLON, Maika BAMPS, Christine LE BERT

Les belles promesses sont loin !

‎Il y a un an vos candidats élus Pierre Fond et Janick promettaient une politique ambitieuse pour les familles et d’obtenir le soutien du conseil départemental pour nos villes.

Aujourd’hui le conseil départemental augmente les taxes, se désengage du financement des crèches, sabre les budgets culture et le soutien au monde associatif.

Pas de panique, ils travaillent à la fusion des Yvelines et des Hauts-de-Seine ! Voilà qui devrait nous rassurer…

Relisez le bilan de un an de mandat de vos conseillers départementaux. Nos candidats Yoann Matot et Isabelle Amaglio-Térisse le craignaient, ils l’ont fait !

Yoann Matot

Conseil municipal du 4 avril, le film

Film intégral (aux erreurs et aux imperfections de notre caméra près) du conseil municipal tenu le 4 avril  2016.

1. Introduction.Vidésurveillance. 
– Minute de silence en hommage à Paul Cuvelier. Championnats d’Europe de Kendo, notre équipe féminine est championne.  Question de Charles Givadinovitch sur la vidéosurveillance. Réponse de Gino Necchi.

2. Démocratie à Maisons-Laffitte Vidéosurveillance (suite). Taux d’utilisation des tennis au POPB.
– Conseils de quartier (question d’Anne Lavagne, réponse du maire),
– Publication des compte-rendus du conseil municipal (question de Nicolas Mourlon)

3. Questions
Compte-rendus des conseils municipaux. Réponse du maire.
– Formation des personnels à la gestion de crises (question de Christine Le Bert, réponses).

4. Questions de sécurité, suite .. Vidéosurveillance.

5. Présentation du budget de la commune (Philippe Bouvier)

6. Présentation du budget de la commune (Philippe Bouvier)

7. Présentation du budget de la commune (Philippe Bouvier)

8. Budget . Explications de vote d’ Eric Lauvernay. Question sur les investissements par Anne Lavagne.

9. Compléments d’information par Jean-François Tassin. Réponses du maire aux remarques d’Eric Lauvernay et Anne Lavagne.

10. Commentaires Avenir du CHML (Eric Lauvernay). Explication de vote (négatif) par Nicolas Mourlon. Réponse du maire.

11. Budget Fin des commentaire généraux sur le budget. Examen des différents postes.
– Assainissement.

12. Postes du budget : eau potable, Rond Sévigné, parcs de stationnnement, acquisitions et cessions, Rugby, Football, registres d’Etat-civil, fonds de soutien à l’investissement local.

13. Postes du budget . Investissements, rénovation des crêches, travaux sur différents sites de la Ville, système d’alerte (sirène).

14. Tourisme. Personnel   Maisons-Laffitte ville impériale (tourisme). Personnel communal (Gino Necchi) première partie.

15. Personnel communal, suite. Informations sur le forum santé (Raphaël Fantin).

Conseil municipal du 18 février 2016, le film

Film intégral (aux erreurs et aux imperfections de notre caméra près) du conseil municipal tenu le 18 février 2016. Un problème technique nous a empêché de filmer les dernières minutes.

1. Introduction, questions
– Informations du maire (EPCI, Vigipirate). Question de Christine Le Bert

2. Questions de
– Logements sociaux (Nicolas Mourlon)
– CHML (Eric Lauvernay)

3. Questions
– Actions concètes pour attirer les entreprises
– Numérique et langues étrangères dans les établissements scolaire.

4. Questions
– Problèmes avec la passerelle
– Débat d’orientation budgétaire, début.

5. Débat d’orientation budgétaire, suite

6. Débat d’orientation budgétaire

7. Débat d’orientation budgétaire. Le débat . Intervention de
Nicolas Mourlon sur les logements sociaux.

8. Projets culturels du département

9. Questions complémentaires

10. Conventions diverses

Tribune libre du magazine municipal – Edition de avril 2016

Coopérations intercommunales … interdépartementales ?

 2012 : M. Myard s’oppose à l’obligation d’engager Maisons-Laffitte dans une intercommunalité… Janvier 2013 : Maisons-Laffitte intègre la Communauté de Communes « minimaliste » Maisons-Mesnil.

2015 : M. Myard s’oppose à la carte préfectorale des nouvelles intercommunalités…

Janvier 2016 : conformément à cette carte, Maisons-Laffitte intègre la Communauté d’Agglomérations Saint-Germain Boucles de Seine.

1er janvier 2016 : dissolution de la Communauté de Communes Maisons-Mesnil… et création du Syndicat Maisons-Mesnil.

Quatre ans après avoir tenté de refuser l’intercommunalité, M. Myard se démène pour lui permettre de perdurer ! Parce que la coopération Maisons-Mesnil est incontournable… On ne le lui fait pas dire !

Combien de temps lui faudra-t-il avant d’arriver au même constat pour notre nouvelle Communauté d’Agglomérations ? Peut-être moins : celle-ci permet à notre ville d’économiser plus d’1 million d’Euros. En effet, le dispositif de péréquation financière entre collectivités riches et pauvres (FPIC), issu de la mandature de Nicolas Sarkozy, est calculé au niveau de l’interco. Notre nouvelle communauté a des critères foncièrement différents de notre communauté de communes antérieure. Sans cela, notre contribution qui était de 1,316 M€ en 2015 aurait dû être portée à 1,6 M€ en 2016. Elle ne s’élèvera qu’à 460 000 € maximum !

M. Myard dénonçait une intercommunalité inutile et coûteuse. Constatons que la réalité lui donne tort.

En revanche, les choix faits en matière de gouvernance s’avéreront eux peut-être coûteux. Une assemblée composée de 92 conseillers communautaires : le maximum prévu par la loi. Un exécutif composé d’1 président et de 15 vice-présidents : toujours le maximum prévu par la loi. Et comme ces 16 postes ne suffisaient pas pour satisfaire les maires des 20 communes de notre nouvelle interco, on y a rajouté 4 postes de conseillers communautaires délégués… Attendons maintenant la fixation de leurs indemnités et des taux d’impositions.

Et que dire du projet de fusion des départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine ? Alors que nos maires de droite ont épuisé tous les recours pour refuser notre nouvelle intercommunalité, nos conseillers départementaux envisagent une coopération d’une envergure encore plus importante. Allez comprendre ! Surtout que M. Pierre Fond, président de notre communauté d’agglomérations, fait partie des maires qui s’y sont opposés… et qu’il est aussi notre conseiller départemental et le 1er vice-président de cette assemblée !

   Maika BAMPS, Nicolas MOURLON, Christine LE BERT

Tribune libre du magazine municipal – Edition de mars 2016

Pour un PADD plus ambitieux

Le PADD (Plan d’Aménagement et de Développement Durable) est la 2ème étape obligatoire dans l’élaboration de notre futur PLU (Plan Local d’Urbanisme). Il fixe les principes d’évolution de notre ville et l’engage pour les 10 à 15 prochaines années.

Au conseil municipal du 14 décembre : débat sur le PADD. L’occasion de poser des questions. Une fois encore, le débat tourne court. Ce document est trop vague ? Le maire s’en félicite : « Pas question de se lier les pattes avec quelque chose de précis »… Et le répète lors de la réunion publique de présentation de ce PADD, le 25 janvier.

Comment peut-on envisager le futur de notre ville en n’écrivant le mot « gare » que deux fois ? L’avenue de Longueil n’est même pas citée… Quel exploit de rédiger 25 pages en « oubliant » ces deux éléments si structurants et incontournables !

Quelle modification de la réglementation pour le centre-ville ? Quel plan de zonage ? Le droit à construire sera-t-il plus important aussi dans le parc et dans la zone pavillonnaire ? Les réponses aux questions précises posées par des habitants ou des commerçants restent évasives.

Pour construire 72 nouveaux logements par an, Jacques Myard a décidé de densifier le centre-ville.  Soit ! Mais comment, dans quelle mesure ? « C’est un milieu minéral », a-t-il lâché en conseil municipal.  Qui visiblement le restera : on devra se contenter des espaces verts privés existants,  espaces amenés à être réduits puisque rien n’est prévu pour en créer ou simplement les conserver . Rien non plus dans les espaces publics… Cette densification doit être encadrée et  accompagnée : avec quels équipements ? Où ? Comment ?

Autres oubliées de ce PADD, les circulations intra-urbaines. A peine trois lignes sur les circulations douces : « Assurer les conditions de circulation apaisée (…) en réfléchissant au développement possible de pistes cyclables, de cheminements piétons et d’espaces partagés… » Rien de concret sur les zones partagées ou les zones 30 que le maire semble découvrir.

Rien non plus sur le périmètre gare RER – gare routière – sortie du parking souterrain – avenue du général de Gaulle – rue Saint-Nicolas. Il faut repenser cette zone potentiellement dangereuse, où se croisent de nombreux piétons, cyclistes, automobilistes et usagers des transports en commun.

Beaucoup de mutations indispensables ne sont pas prévues. Dans ce document, si le verbe « préserver » est utilisé 15 fois, le verbe « créer » seulement 2 fois. Tout est dit.

L’élaboration du PLU est un acte démocratique important. A chaque étape, on peut encore intervenir. Mobilisez-vous à nos côtés pour en améliorer le contenu.

   Christine LE BERT, Maika BAMPS, Nicolas MOURLON

Tribune libre du magazine municipal – Edition de février 2016

Un accord universel sur le climat,… à quelques kilomètres de Maisons-Laffitte

Du 30 novembre au 12 décembre 2015, les chefs d’Etat et délégations du monde entier se sont réunis au Bourget pour une conférence décisive dans la prise en compte des enjeux climatiques et environnementaux. Jamais un enjeu n’avait rassemblé autant de chefs d’Etat et de gouvernement, jamais il n’y avait eu autant de contributions et de mobilisations.

 Un accord universel a été approuvé par l’unanimité des délégations étrangères.

 Une unanimité sans abstention, Monsieur le Maire !

 C’est un accord historique qui vise à limiter la hausse des températures en-deçà de 2 degrés, et de 1,5 degré d’ici la fin du siècle. Ceci a été possible grâce à la mobilisation de nombreuses personnes et institutions : gouvernement, administrations, entreprises, associations et bien sûr, les collectivités.

 Avec cet accord, nous entrons dans l’ère du bas carbone ! Et pourtant, loin de s’inscrire en rupture, il témoigne d’une prise de conscience progressive, d’une volonté collective de répondre au défi et à l’urgence climatiques.

 Nous savons que nous sommes tous concernés par l’enjeu et que nous pouvons agir au quotidien. La ville de Maisons-Laffitte peut agir dans les décisions d’investissement et de planification qu’elle sera amenée à faire. Mais le sait-elle vraiment ?

 A l’heure où vous lirez ces lignes, vous aurez peut-être assisté à la réunion publique de présentation du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD) de notre ville. Etape obligatoire de l’élaboration de notre futur PLU (Plan Local d’urbanisme), celui-ci devrait fixer les principes d’évolution de la ville. Mais les sujets structurants sont, le plus souvent, simplement évoqués dans une formule « incantatoire » et non contraignante.

 D’autres étapes permettront d’améliorer la copie. Au cours de cette année, vous serez associés pour dessiner l’avenir de notre ville, au travers de l’élaboration du PLU. Mobilisez-vous, à nos côtés, pour un véritable développement des déplacements doux, pour l’amélioration des transports en commun, pour le développement des solutions de recyclage et l’accompagnement à la rénovation thermique des bâtiments.

 Maisons-Laffitte peut devenir une ville à la pointe de l’enjeu environnemental et de la transition écologique, loin des joutes stériles et dépassées sur la fermeture des voies sur berges à Paris, dont notre Maire ne comprend manifestement pas l’enjeu !

 Nicolas MOURLON, Christine LE BERT, Maika BAMPS