Parti Socialiste de Maisons-Mesnil
Représentation du Parti Socialiste et des élus d'opposition de gauche à Maisons-Laffitte et au Mesnil-le-Roi
Articles de Pierre Berger
Voyez sur Youtube l’intervention de Christine Le Bert, et la réponse de Jacques Myard.
Malgré l’ironie de notre maire, on remarquera que la question l’a conduit à fournir nombre d’informations utiles à tous.
Nos élus ont fait d’autres utiles interventions, que nous mettrons prochainement en ligne.
Nous avons commencé à filmer les séances du conseil municipal. La loi nous y autorise, et le maire n’a fait aucune difficult. J’ai même eu l’impression qu’il en était satisfait. La ville envisage de le faire, mais avec des moyens professionnels assez coûteux.
Nous pensons qu’avec des moyens limités (caméraman amateur, caméscope bas de gamme), il est déjà possible d’obtenir des résultats intéressants.
En voici un premier exemple, avec nos excuses pour ses imperfections.
Pierre Berger
Maika Bamps : Décider ensemble
Nicolas Mourlon : Bâtir la ville.
Pierre Gelli : Se déplacer et partager la ville.
Marc Lefoulon : Garantir le développement durable.
Christine Le Bert :Agir pour nos enfants.
Yoann Matot : Consolider l’économie. Agir pour l’emploi
Hind Seghrouchni-Gouvier : Vivre ensemble.
Robin Wuster: Agir pour les plus fragiles.
Catherine Brousselle : Développer une politique de santé.
Pierre Berger : Contribuer au rayonnement de la ville.
La salle était bien pleine pour nous écouter et nous poser des questions afin de mieux comprendre notre programme et nos choix.
Vous en trouverez les grandes pages en cliquant sur l’onglet “PROGRAMME”.
A plus, bien sûr.
Prenez votre retraite, monsieur Myard ! Vous l’avez bien méritée, après trente ans passés au service de notre conseil municipal. On sent d’ailleurs, à vous voir comme à vous lire, la fatigue de ces longues années d’un travail épuisant, toujours à courir de la Mairie à l’Assemblée.
Fatigue ? Votre dernier tract ne scande que des termes négatifs : faire face, maîtriser, maintenir (trois fois répété), défendre, assurer. De l’avenir, vous n’attendez que des menaces. Et c’est la faute des autres, bien entendu. “Le gouvernement socialiste nous impose de multiples contraintes”…. mais ce sont en grande partie celles que votre parti a voté ou maintenues sous la précédente présidence à l’époque de Nicolas Sarkozy !
Vous lancez “Nous n’avons pas de dette”, comme un titre de gloire. C’est une fierté de vieillard qui penserait à ses héritiers. C’est au contraire une preuve de timidité pour un jeune ménage qui construit son avenir comme pour une ville qui pourrait avoir de plus grands projets et une politique sociale audacieuse en coopération avec ses voisines.
Pas de dettes ? Peut-être. Mais nous allons payer au prix fort les intérêts de votre politique antisociale et refermée comme un ghetto.
Laissez-nous sourire, alors, à lire “Le progrès autrement” au dessus de la photo d’un homme qui n’a qu’un rêve, ne pas changer. Ce que vous voulez “maintenir”, c’est vous-même ! Et vous essayez surtout d’endormir les mansonniens en leur faisant croire qu’ils sont bien à l’abri de leur ligne Maginot Forêt-Seine, et que vous pourrez maintenir cet “environnement privilégié” par la seule force de votre monarchique personnalité.
Vous stigmatisez “l’esbroufe des campagnes gadget” ? C’est la rengaine de tous les hommes de pouvoir qui ne veulent pas le lâcher (connaissez-vous mieux que moi les problèmes de l’heure?). Pourtant les listes de vos concurrents ne manquent ni d’idées précises, ni de compétences techniques, ni d’expérience politique. Et ils seraient mieux informés si vous leur ouvriez démocratiquement les dossiers. Et certains d’entre eux, comme l’hôpital des Courses ou l’hippodrome, montrent surtout la fatigue qui vous a conduit à une gestion désastreuse (au CHC) ou à des résultats dont le mérite revient à d’autres au moins autant qu’à vous-même (l’hippodrome).
Alors, ne briguez par un énième mandat qui n’ajoutera rien à votre gloire, et qui pourrait fortement l’écorner, c’est vous-même qui le laissez entendre.
Prenez votre retraite, Monsieur Myard. Reposez-vous dans votre XXe siècle et laissez nous construire le XXIe. Il n’est certes pas facile. Mais ses problèmes ne sont pas pour nous des feuilles d’automne à ramasser. Ils sont l’annonce, malgré l’hiver, des fleurs d’une nouvelle époque.
Pierre BERGER, 75 ans, colistier de Maika Bamps, liste “Ensemble.ML”
Notre environnement est exceptionnel. Pour le conserver, nous proposons notamment de :
– mieux qualifier les continuités écologiques et les intégrer au Plan Local d’Urbanisme (PLU),
– relancer le projet de “coulée verte”,
– programmer un écoquartier,
– soutenir les associations locales de défense de l’environnement.
Voici ce qu’en dit notre tract: 
Outre les problèmes laissés en suspens par la précédente municipalité, de nombreux thèmes de réflexion, de décision et d’action attendent le prochain conseil municipal.
Pour nous, la manière de construire ces choix est essentielle. Nous mettrons en place une vraie démocratie locale: conseils municipaux filmés, association de tous les conseillers aux sujets importants, un site Internet qui devienne un vrai canal d’information et de dialogue.
Quelques précisions dans notre tract: 
1500 entreprises, 7000 emplois, la vie économique de Maisons-Laffitte conjugue activités résidentielles et professionnelles. L’entretenir, l’élargir ce sera un des thèmes majeurs, obligatoire d’ailleurs, de la coopération intercommunale.
Promouvoir notre territoire, coordonner le développement économique entre les communes associées… il ne s’agit pas simplement de préserver l’existant, mais de créer une nouvelle dynamique.
C’est ce que présente notre récent tract “Le développement économique, ensemble”:
Voici le tract du Collectif de défense du CHC, que nous transmet notre camarade Claude Thiercé, et qui sera distribué cette semaine.
Depuis plusieurs mois les personnels, les usagers et les élus de gauche se battent pour que leur hôpital de proximité, essentiel à la vie de notre commune comme à celle d’un bassin de population de 150 000 personnes, ne vienne à disparaître par suite d’une gestion calamiteuse. Gestion dont le président de son conseil d’administration, Jacques Myard, porte la responsabilité première.
Au démantèlement programmé il faut opposer le maintien du CHC, de son bloc opératoire,de ses soins et de ses urgences.
