Tribune libre du magazine municipal – Edition de avril 2016

Coopérations intercommunales … interdépartementales ?

 2012 : M. Myard s’oppose à l’obligation d’engager Maisons-Laffitte dans une intercommunalité… Janvier 2013 : Maisons-Laffitte intègre la Communauté de Communes « minimaliste » Maisons-Mesnil.

2015 : M. Myard s’oppose à la carte préfectorale des nouvelles intercommunalités…

Janvier 2016 : conformément à cette carte, Maisons-Laffitte intègre la Communauté d’Agglomérations Saint-Germain Boucles de Seine.

1er janvier 2016 : dissolution de la Communauté de Communes Maisons-Mesnil… et création du Syndicat Maisons-Mesnil.

Quatre ans après avoir tenté de refuser l’intercommunalité, M. Myard se démène pour lui permettre de perdurer ! Parce que la coopération Maisons-Mesnil est incontournable… On ne le lui fait pas dire !

Combien de temps lui faudra-t-il avant d’arriver au même constat pour notre nouvelle Communauté d’Agglomérations ? Peut-être moins : celle-ci permet à notre ville d’économiser plus d’1 million d’Euros. En effet, le dispositif de péréquation financière entre collectivités riches et pauvres (FPIC), issu de la mandature de Nicolas Sarkozy, est calculé au niveau de l’interco. Notre nouvelle communauté a des critères foncièrement différents de notre communauté de communes antérieure. Sans cela, notre contribution qui était de 1,316 M€ en 2015 aurait dû être portée à 1,6 M€ en 2016. Elle ne s’élèvera qu’à 460 000 € maximum !

M. Myard dénonçait une intercommunalité inutile et coûteuse. Constatons que la réalité lui donne tort.

En revanche, les choix faits en matière de gouvernance s’avéreront eux peut-être coûteux. Une assemblée composée de 92 conseillers communautaires : le maximum prévu par la loi. Un exécutif composé d’1 président et de 15 vice-présidents : toujours le maximum prévu par la loi. Et comme ces 16 postes ne suffisaient pas pour satisfaire les maires des 20 communes de notre nouvelle interco, on y a rajouté 4 postes de conseillers communautaires délégués… Attendons maintenant la fixation de leurs indemnités et des taux d’impositions.

Et que dire du projet de fusion des départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine ? Alors que nos maires de droite ont épuisé tous les recours pour refuser notre nouvelle intercommunalité, nos conseillers départementaux envisagent une coopération d’une envergure encore plus importante. Allez comprendre ! Surtout que M. Pierre Fond, président de notre communauté d’agglomérations, fait partie des maires qui s’y sont opposés… et qu’il est aussi notre conseiller départemental et le 1er vice-président de cette assemblée !

   Maika BAMPS, Nicolas MOURLON, Christine LE BERT

Tribune libre du magazine municipal – Edition de mars 2016

Pour un PADD plus ambitieux

Le PADD (Plan d’Aménagement et de Développement Durable) est la 2ème étape obligatoire dans l’élaboration de notre futur PLU (Plan Local d’Urbanisme). Il fixe les principes d’évolution de notre ville et l’engage pour les 10 à 15 prochaines années.

Au conseil municipal du 14 décembre : débat sur le PADD. L’occasion de poser des questions. Une fois encore, le débat tourne court. Ce document est trop vague ? Le maire s’en félicite : « Pas question de se lier les pattes avec quelque chose de précis »… Et le répète lors de la réunion publique de présentation de ce PADD, le 25 janvier.

Comment peut-on envisager le futur de notre ville en n’écrivant le mot « gare » que deux fois ? L’avenue de Longueil n’est même pas citée… Quel exploit de rédiger 25 pages en « oubliant » ces deux éléments si structurants et incontournables !

Quelle modification de la réglementation pour le centre-ville ? Quel plan de zonage ? Le droit à construire sera-t-il plus important aussi dans le parc et dans la zone pavillonnaire ? Les réponses aux questions précises posées par des habitants ou des commerçants restent évasives.

Pour construire 72 nouveaux logements par an, Jacques Myard a décidé de densifier le centre-ville.  Soit ! Mais comment, dans quelle mesure ? « C’est un milieu minéral », a-t-il lâché en conseil municipal.  Qui visiblement le restera : on devra se contenter des espaces verts privés existants,  espaces amenés à être réduits puisque rien n’est prévu pour en créer ou simplement les conserver . Rien non plus dans les espaces publics… Cette densification doit être encadrée et  accompagnée : avec quels équipements ? Où ? Comment ?

Autres oubliées de ce PADD, les circulations intra-urbaines. A peine trois lignes sur les circulations douces : « Assurer les conditions de circulation apaisée (…) en réfléchissant au développement possible de pistes cyclables, de cheminements piétons et d’espaces partagés… » Rien de concret sur les zones partagées ou les zones 30 que le maire semble découvrir.

Rien non plus sur le périmètre gare RER – gare routière – sortie du parking souterrain – avenue du général de Gaulle – rue Saint-Nicolas. Il faut repenser cette zone potentiellement dangereuse, où se croisent de nombreux piétons, cyclistes, automobilistes et usagers des transports en commun.

Beaucoup de mutations indispensables ne sont pas prévues. Dans ce document, si le verbe « préserver » est utilisé 15 fois, le verbe « créer » seulement 2 fois. Tout est dit.

L’élaboration du PLU est un acte démocratique important. A chaque étape, on peut encore intervenir. Mobilisez-vous à nos côtés pour en améliorer le contenu.

   Christine LE BERT, Maika BAMPS, Nicolas MOURLON

Tribune libre du magazine municipal – Edition de février 2016

Un accord universel sur le climat,… à quelques kilomètres de Maisons-Laffitte

Du 30 novembre au 12 décembre 2015, les chefs d’Etat et délégations du monde entier se sont réunis au Bourget pour une conférence décisive dans la prise en compte des enjeux climatiques et environnementaux. Jamais un enjeu n’avait rassemblé autant de chefs d’Etat et de gouvernement, jamais il n’y avait eu autant de contributions et de mobilisations.

 Un accord universel a été approuvé par l’unanimité des délégations étrangères.

 Une unanimité sans abstention, Monsieur le Maire !

 C’est un accord historique qui vise à limiter la hausse des températures en-deçà de 2 degrés, et de 1,5 degré d’ici la fin du siècle. Ceci a été possible grâce à la mobilisation de nombreuses personnes et institutions : gouvernement, administrations, entreprises, associations et bien sûr, les collectivités.

 Avec cet accord, nous entrons dans l’ère du bas carbone ! Et pourtant, loin de s’inscrire en rupture, il témoigne d’une prise de conscience progressive, d’une volonté collective de répondre au défi et à l’urgence climatiques.

 Nous savons que nous sommes tous concernés par l’enjeu et que nous pouvons agir au quotidien. La ville de Maisons-Laffitte peut agir dans les décisions d’investissement et de planification qu’elle sera amenée à faire. Mais le sait-elle vraiment ?

 A l’heure où vous lirez ces lignes, vous aurez peut-être assisté à la réunion publique de présentation du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD) de notre ville. Etape obligatoire de l’élaboration de notre futur PLU (Plan Local d’urbanisme), celui-ci devrait fixer les principes d’évolution de la ville. Mais les sujets structurants sont, le plus souvent, simplement évoqués dans une formule « incantatoire » et non contraignante.

 D’autres étapes permettront d’améliorer la copie. Au cours de cette année, vous serez associés pour dessiner l’avenir de notre ville, au travers de l’élaboration du PLU. Mobilisez-vous, à nos côtés, pour un véritable développement des déplacements doux, pour l’amélioration des transports en commun, pour le développement des solutions de recyclage et l’accompagnement à la rénovation thermique des bâtiments.

 Maisons-Laffitte peut devenir une ville à la pointe de l’enjeu environnemental et de la transition écologique, loin des joutes stériles et dépassées sur la fermeture des voies sur berges à Paris, dont notre Maire ne comprend manifestement pas l’enjeu !

 Nicolas MOURLON, Christine LE BERT, Maika BAMPS

Tribune libre du magazine municipal – Edition de janvier 2016

Quand le maire joue… et perd !

Dans le magazine du mois dernier, l’édito de M. Myard et la tribune de son groupe ont été consacrés au logement social. Pour nous annoncer le lancement de nouveaux programmes ? Bien sûr que non ! Encore une fois pour nous dire qu’on ne peut pas en construire à Maisons-Laffitte. C’est la même antienne depuis 2000, date de la promulgation de la loi SRU que M. Myard s’obstine à appeler Loi Gayssot (parce que le S de SRU veut dire Solidarité ?), loi qu’il ne respecte pas alors qu’elle n’a jamais été remise en cause par les gouvernements successifs, qu’ils soient de gauche comme de droite.

On ne peut pas rester obstinément hors-la-loi sans en payer les conséquences. Maisons-Laffitte avait déjà été condamnée à des amendes par le passé. Au printemps dernier, le Préfet a pris des arrêtés de carence à l’encontre de 8 communes des Yvelines. Outre l’imposition de nouvelles pénalités, cette fois-ci notre ville a perdu son droit de préemption, confié à un organisme appelé EPFY. Et comme par enchantements, des emprises foncières pour construire du logement social sont apparues… M. Myard se félicitant même de la coopération avec cet organisme public !

Alors que nous vaut les honneurs de la presse fin octobre ? Maisons-Laffitte fait partie des 36 communes épinglées par le gouvernement pour carence en logements sociaux et mises sous surveillance. 8 communes carencées dans les Yvelines, une seule, la nôtre dans la liste des 36 ! Nous connaissons tous pourtant des villes voisines dans une situation a priori comparable à la nôtre. Nous avons interrogé le Maire lors du dernier Conseil Municipal. Explications sans surprise, M. Myard s’est engagé dans un énième bras de fer avec l’Etat. Il a perdu les précédents (amendes, droit de préemption…) mais espère encore imposer sa loi. Il a refusé de signer une convention au motif, entre autres, que celle-ci lui enlevait la possibilité de choisir les mal-logés qu’il voudrait bien accueillir dans la ville. Nous parlons bien de familles bénéficiant du « droit au logement opposable » ou DALO, droit institué sous la présidence de Jacques Chirac et qui permet aux personnes mal logées de faire valoir leur droit à un logement ou un hébergement digne ! Qu’à cela ne tienne, pour M.Myard, n’entre pas qui veut à Maisons-Laffitte …

Alors oui, nous sommes sous surveillance. Si ce n’est par solidarité, au vu des sanctions qui peuvent nous être infligées, nous demandons à M. Myard de se montrer constructif.

Une partie des Mansonniens a voté pour lui pensant qu’il serait le mieux placé pour les « défendre ». Et si c’était le contraire ?

Maika BAMPS, Nicolas MOURLON, Christine LE BERT

Tribune libre du magazine municipal – Edition de décembre 2015

La ville appartient aussi aux piétons

 «  A Maisons-Laffitte, il y a mieux que le vélo, c’est la marche à pied !  Je recommande la marche à pied, y compris pour moi-même… » C’était la réponse de Jacques Myard, lors du conseil municipal du 28 septembre, à une question de Maika Bamps sur le manque d’ambition pour favoriser les déplacements à vélo dans notre ville.

Voilà notre maire chantre de la marche ! Quatre semaines plus tard, il signait pourtant à grand bruit un arrêté municipal désignant Anne Hidalgo, la maire de Paris, persona non grata à Maisons-Laffitte. Pourquoi ? Parce qu’elle veut rendre piétonnes sur trois kilomètres les berges de la Seine, rive droite, dans la capitale… Une incohérence de plus de M. Myard !

Mais, Monsieur le maire, s’il n’est pas  facile de se déplacer dans Maisons-Laffitte à vélo (voir notre tribune d’octobre 2015), ce n’est pas plus facile à pied. Faites-en l’expérience…

En ville, les trottoirs sont étroits (sauf avenue de Longueil), encombrés de panneaux de signalisation, de plots, de lampadaires, d’horodateurs, de poubelles, etc. Un vrai parcours d’obstacles pour les personnes âgées ou à mobilité réduite, les handicapés, les parents avec poussettes, les enfants. Finalement tout le monde… Traverser sur les passages piétons s’avère souvent délicat. Tout cela oblige notamment les parents à accompagner leurs enfants sur le chemin de l’école ou de leurs différentes activités.

La marche reste la façon la plus naturelle de se déplacer. Mais pour favoriser ces déplacements à pied, il faut développer l’équité entre tous les usagers de la rue : piétons, des plus jeunes aux plus âgés, cyclistes et automobilistes. Adoptons à Maisons-Laffitte un « code de la rue », différent du code de la route qui donne priorité au tout-voiture. Appliquons le double sens cyclable, créons des zones de partage limitées à 20 km/h, avec priorité aux plus vulnérables…

Faciliter la marche pour les déplacements urbains est recommandé pour la santé, réduit le stress lié au bruit, rend la vie plus agréable, participe à l’animation de la ville, dynamise le commerce local. Se déplacer à pied, c’est aussi se rencontrer, discuter, flâner. Une vraie source de convivialité.

Tout cela devrait nous faire réfléchir à la ville du XXIe siècle. A Maisons-Laffitte, hélas, on oublie trop souvent de préparer l’avenir.

                                     Christine LE BERT, Maika BAMPS, Nicolas MOURLON

Tribune libre du magazine municipal – Edition de novembre 2015

Maisons-Laffitte rackettée ? Maisons-Laffitte asphyxiée ?…

Vous avez sans doute remarqué la double page centrale du bulletin municipal du mois d’octobre. Quelques mois auparavant, on se félicitait pourtant d’un budget confortable et bien géré.

Cette double page fait l’amalgame entre des sujets dont la nature et les responsabilités sont très différentes. Si la baisse des dotations s’applique à toutes les collectivités, la montée en puissance du fonds de péréquation, ne s’applique qu’à certaines : elle avait été décidée par le gouvernement Fillon. Les pénalités SRU sont elles liées au non respect d’une obligation légale : Maisons-Laffitte ne respecte pas la loi. Quant à la baisse des droits de mutation, elle devrait plutôt interroger la mairie sur sa politique d’attractivité.

Alors que tout un chacun recherchait des informations utiles sur sa commune, voilà que le lecteur est pris à témoin d’accusations décalées et dont la visée n’échappe à personne.

Comme vous le savez, le gouvernement a du mettre en place, des mesures visant à réduire les dépenses publiques. En 2012, la France dépensait 80 Md € de plus par an qu’en 2007. Il était urgent de sortir durablement de cette situation financière périlleuse. Cela passait par une mobilisation de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités locales. Ceux qui aujourd’hui dénoncent la baisse des dotations n’ont d’ailleurs jamais proposé autre chose, ni hier ni aujourd’hui. Ils proposent même d’aller bien au-delà de l’objectif de 50 Md € d’économie sur 3 ans, sans détailler leurs plans alternatifs.

Depuis 2012, un effort équilibré et soutenable a donc été demandé aux collectivités locales. Equilibré : la part de l’effort qui leur est demandé a été défini à hauteur de leur participation aux dépenses publiques – un peu plus de 20%. Soutenable : il se limite à 1,9% des recettes réelles de fonctionnement.

A l’inverse, pour préparer l’avenir, l’investissement local a été érigé en priorité. De nombreuses mesures ont été prises en 2015 : + 300 M€ via l’augmentation du taux de remboursement du FC TVA, +100 M€ pour les maires bâtisseurs, … Le soutien est encore plus massif en 2016, avec la création d’un fonds d’1 Md €, consacré à 50% au financement de grandes priorités : mobilité, rénovation thermique / énergies renouvelables, équipement numérique, accueil de populations nouvelles …

En ne focalisant que sur des évolutions à la marge de ses dépenses de fonctionnement, la municipalité refuse de mener un vrai débat sur ses priorités d’investissement à moyen/long terme, qui seules permettront de maintenir la qualité de vie, un haut niveau d’équipement et de services et l’attractivité de notre commune.

Nicolas MOURLON, Christine LE BERT, Maika BAMPS,

Prochain rendez-vous mensuel : jeudi 5 novembre, de 19 à 21 heures, à L’Avenue

Tribune libre du magazine municipal – Edition d’octobre 2015

Le maire, le vélo et le code de la route.

 Art R. 412-28-1 du Code de la route : Lorsque la vitesse maximale autorisée est inférieure ou égale à 30 km/h, les chaussées sont à double sens pour les cyclistes sauf décision contraire de l’autorité investie du pouvoir de police. Décret n° 2015-808 du 02 juillet 2015

La mise à double-sens cyclable d’une rue est possible depuis longtemps. Les collectivités avaient obligation de le faire dans les zones 30 déjà existantes avant le 1er juillet 2010. Ainsi, leur linéaire a-t-il été multiplié par 7 entre 2008 et 2013. Mais pas à Maisons-Laffitte !

L’autorité investie du pouvoir de police dans notre ville est son maire. C’est M. Myard qui a interdit ce double-sens dans toutes les zones 30 de la commune. Ce qui devait être l’exception est devenue la norme chez nous. Motif : le double-sens cyclable serait dangereux… Et tant pis si le code de la route l’autorise et l’expérience prouve le contraire. La ville de Paris a en particulier développé plus de 220 km de doubles-sens cyclables et par une analyse détaillée, a démontré que le bilan de sécurité de ce dispositif était largement positif.

Le cycliste est même plutôt moins en danger en arrivant de face à un véhicule que quand il est suivi de (très) près par un véhicule motorisé. Le conducteur de la voiture est assis à gauche, c’est-à-dire du côté où s’effectue le croisement. Plus proche du cycliste que lors d’un dépassement, il évalue plus facilement l’espace nécessaire dans une rue étroite. Sans compter que le double-sens cyclable permet d’éviter des axes et carrefours à fort trafic et vitesse routière élevée.

Et c’est aussi la sécurité du piéton qui est améliorée car le cycliste, encouragé à utiliser légalement la chaussée, libère le trottoir.

Pourtant, le constat est là : il y a encore trop peu de place accordée au vélo dans notre ville.

La mise en place du PLU peut être l’occasion de repenser les cheminements piétons et cyclistes. Pour l’instant, si un des enjeux annoncés est de « Poursuivre (sic) les efforts en faveur des modes alternatifs à la voiture », la réflexion sur les itinéraires piétonniers et de trame cyclable ne figure que dans une partie du diagnostic intitulée « Une découverte du territoire à favoriser ». Or, ce dont nous avons avant tout besoin, c’est de nous déplacer facilement et en sécurité vers la gare et vers les équipements structurants de la ville comme par exemple sur l’axe reliant le centre-ville et le secteur collège Cocteau/piscine/gymnase. Mettre des arceaux à chaque bout ne suffit pas à faire une politique digne de ce nom. A défaut, il est à craindre que ce soit, encore une fois, une occasion manquée d’améliorer la qualité de vie dans notre ville.

Maika BAMPS, Nicolas MOURLON, Christine LE BERT

Si vous voulez des éléments complémentaires pour un peu plus loin voici un site très bien documenté :

https://www.heureux-cyclage.org/non-les-double-sens-cyclables-ne.html

Conseil municipal du 22 juin

Film intégral du conseil municipal du 22 juin 2016. Veuillez excuser notre présentation sommaire et nos possibles erreurs et omissions.

– Introduction Instances de silence à la mémoire de Mr. Souillard
– Communication de la ville sur la centre aquatique (Question de Maika Bamps).  Film 1

– Félicitations à Claude Kopelianski pour le démontage de la passerelle. Félicitations aux organisateurs de la Fête de la Musique.
– Structures des dépenses de la ville, comment les étudier (Audit en cours).
– Insécurité à Maisons-Laffitte et actions de la Ville, notamment avec l’armement de la police municipale (Réponse de Gino Necchi). Film 2

– Insécurité à Maisons-Laffitte. Commentaires du maire.
– Aménagements des berges de Seine par la SIAAP (Question d’Anne Lavagne, réponses de Philippe Bouvier et du maire). Film3 ,

– Fréquence des conseils municipaux (Question de Christine Le Bert, réponse du maire).
– Tarifs de la restauration scolaire (Question de Nicolas Mourlon. Réponses de Monique Pigé et Brigitte Boiron).
– Accueil des réfugiés syriens (Question de Maika Bamps, réponse du maire).
– Finances départementales (Question de Maika Bamps, réponse du maire). Film4,

– Examen des comptes. Une question sur l’autofinancement. Sur les “circulations douces”, le maire considère qu’il s’agit d’une question “d’autodiscipline de nos concitoyens”, Film5, Film6. film7, film 8.

– Examen des comptes. Application du quotienf familial et tarification des écoles de sport (Questions de Maika Bamps, réponses du maire). Film 9.

– Examen des comptes. Quotients familiaux (Question de Maika Bamps, réponse de Brigitte Boiron). Cohérence des comptes (Remarque de Nicolas Mourlon, réponse du maire). Film 10.

– Examen des comptes. Quelques explications, notamment sur les tarifs du stationnement. Film 11.

–  Travaux.
– Manifestation d’art contemporain.
– Amélioration des accès pour les handicapés.  Film 12

– Travaux.
– Agenda d’accessibilité pour les handicapés (Claude Kopelianski, questions d’Anne Lavagne et Nicolas Mourlon, réponses). Film 13.

– Travaux, voirie.
– Piscine, horaires, personnel (Question de Maika Bamps, réponse du maire). Film 14.

– Evaluation des fonctionnaires municipaux (Question de Maika Bamps. Réponses de Gino Necchi et du maire). Film 15.

– Fonctionnaires municipaux.
– Filière biologique de la station d’épuration (Question de M. Lauvernay, réponse du maire, qui signale notamment les avantages d’un Sivom est les inconvénients de l’intecommunalité). Film 16.

– Motion sur l’intercommunalité. Vote contraire des élus du PS. Film 17.

– Présentation des tarifs et conditions d’inscription des enfants. (Remarque de Maika Bamps, réponse du maire) Film 18.

PLU, TAFTA, Jeudi d’Ensemble.ML

Nous vous proposons 3 rendez-vous cette semaine :

1-les Jeudis d’Ensemble.ML : nous nous retrouverons pour notre désormais traditionnel 1er jeudi du mois ce jeudi 4 juin à l’Avenue de 19h à 21h. Ce sera le dernier avant le mois de septembre et la rentrée !

2- le 1er JUIN à 20 H 30 Salle Malesherbes : RÉUNION PUBLIQUE PLU.

Dans le cadre de l’élaboration du PLAN LOCAL D’URBANISME (PLU), la mairie convie tous les Mansonniens à une réunion publique de présentation du diagnostic du territoire. Présentation n’est pas synonyme de consultation mais ne laissons pas passer l’occasion de participer à l’élaboration du Maisons-Laffitte de demain.

– le 3 JUIN à 20h30 salle Jamart, 24 rue du Mesnil à Maisons-Laffitte : conférence-débat sur TAFTA.

Le « Grand Traité Transatlantique », qui concerne le commerce entre l’Union Européenne et les Etats-Unis, se négocie actuellement dans le plus grand secret. Ce débat est organisé par l’association Maisons-Laffitte Développement Durable (MLDD) avec Frédéric Viale, économiste.

Ce sujet est fondamental pour notre avenir proche, et cependant il est très méconnu : et pour cause, tout est fait pour que nous n’ayons pas voix au chapitre. Donc, première étape : en savoir plus !

N’hésitez pas à faire circuler ces invitations autour de vous !

En espérant vous rencontrer nombreux lors de ces 3 prochains rendez-vous…

 

Les Jeudis d’Ensemble.ML : rdv le 7 mai à l’Avenue de 19h à 21h

Mois après mois, notre rendez-vous s’installe. Nous sommes un peu plus nombreux à chaque fois. Pas toujours facile de s’entendre, la distance d’un bout à l’autre de la table étant de plus en plus longue . La rançon du succès peut-être diront certains !

Il n’empêche que c’est avec un grand plaisir que je vous donne rendez-vous ce jeudi 7 mai pour des échanges informels et chaleureux.